Une ascension décadente sans l’espoir de pouvoir remonter la pente, ce que je vois dans cette salle s’apparente a l’humeur, s’apparente aux voix d’eau bleutée, transparente et silencieuse.
Toutes fuit vers un ciel plus beau. Je ne vois pas d’accord parfait dans la démesure sans que le fait de voler vienne perturber ces ahuris d’oiseaux orangés. C’est sur nos tête que sonnera le glas des autres fois, seul le vents nous portera, des contrée plaisantes vers l’orgueil brisé. Et je penche vers ce qui me poussait hier à mener l’enquête.
Haut les mains vile crétins l’assomption n’existe que pour les saintes et virginales sottises que comptent la bravoure.
Ne me montrez point vos vains et sales serpents gris car vos ombres me révulse et vos sens me transporte dans d’étranges remords.
Aussi loin que la loi fera fois aux victoires grandioses d’un empire déchu je sombrerai dans l’encre de larme goudronnée et ne vous donnerais jamais de clés!
Vous pourrais ouvrir chacun de vos esprits et comprendre tout ce que vos sens peuvent vous apprendre mais dans cette univers de sombre mouton de suie noir vous ne verrais jamais la lumière que crée le sombre. Dites que la clarté n’existe pas sans l’obscurité et sombre idiots vous n’aurais rien appris.
Chaque symbole que vous y lirais dans le coté de ce mur ou dans l’autre ne vous renseignera jamais sur l’entrée puisqu’il n’y a pas.
La mort, très cher amateurs de sensations fortes, n’ouvre aucune porte, la vie encore moins et avant comme pendant ainsi qu’après il n’y a jamais eu qu’un rien mouvant engluant vos pensée en votre vivant ! Il n’y as jamais rien eu,
Qu’ils disent que les êtres vivant existent soit mais à qui permet le fait de prononcer que sa naissance n’est pas bornée et ne sert qu’a alimenter le seul néant de nos présence!
Il fut un matin où les soirs se plaisaient à penser à demain.Où les arbres ployant sous le poids de nos mains, se lamenté de supporter la marée,En un sursaut de vie que je n’oublierai jamais comme la splendeur des blés au levé et les violettes au couchants me rappellerons à l’aurore,toutes ces vallées bleuté que tu cachais en vain.
Ainsi toutes ces morts anticipés, luisante comme le vers de soi, m’on paru souveraine.Un plaisant instant contre certaines monois, c’est encore une fois que je ploie.
Afin de cueillir une fleure d’eau au bord du Nil je jette les restes de pensées au fond d’une nuée d’écume.En portant les tiennes sans tarder me sacre roi et te fais reine a toi.
Aucune lune ne m’ont averti du danger des courants, il a fallut trouver au plus profond,
l’hymne saillant a ton regard.
Le chant me menait sur des entiers presque inconnu, conduisant les feu follets d’un tombeau à la vie à nouveau.Or bien mal heureux à ceux qui du Styx défi la loi et tourne une dernière fois le regard vers l’arrière.
Orphée te l’aurait dévoilé mais tel le ressac tu as décider de revenir,La Cassandre que je suis à attendu aux pied des portes de trois sachant qu’il en serait bien tard pour l’avenir,Tout ces souvenirs mal dosés se mélangent au passé et tournois
A travers mes yeux clos qui se blessent ma foi d’avoir eu confiance en toi.
Pourtant il y a des jours de beau temps, où mon esprit vagabonde et tente d’oublier ce que je t’ai déclarer avant cette soirée,
Il échoue et marmonne une douce rengaine qui malgré les champs, la mer et les forêts, reste encore gravé.
Tu es là, tu es devant moi juste là, les veines à fleur de peau tu regardes fixement le pouls qui s’emballe, devant mes yeux s’offre la vision d’un éclaire fugace, puis d’une ombre, elle grandit, ne m’atteint pas mais te dévore à toi. Tu es chez moi et cette fois ton visage n’exprime pas le masque de la communauté, ce jour-là je me suis promise de faire quelques chose. Pourtant lorsque devant moi tu t’es effondrée… Antigone, nous écoutions chanson de toile. Sur ce que je peux tisser dans les étoiles je mettrais le regard que tu soutenais, tremblante tu marmonnais : je saurais te défendre.
Ça ne doit pas, ça ne doit pas être faisable, les jouets de bois sont fait par des experts, ils savent reconnaître leur création à chaque saison ; tu peux chercher si tu veux mais je sais qu’ aucun artisans ne saurait dire ton nom.
Entend moi, les portes du huit clos sont ouvertes à toi tout comme au commun des mortels, ma chère ne donne pas ta peau.
Tu ne t’ennuie plus mais ce n’est pas la toile qui occupera tes nuits. Avec l’âme et un marteau je ferais une effigie pour ce souvenir, pour te convenir, une image sculptée dans la pierre affinera le tableau et te sera plus soutenable.
Au-delà des frontières je briserais tes fers, en traversant l’horizon je bouclerais l’enfer. Un point pour chaque étoile chanson de toile.
La salle est une piscine, chacun y rentre dans l’espoir de sauter à l’eau puis avoir la tête hors des flots durant une heure.Mais beaucoup ne savent pas nager ou comme moi se débrouille avec les pieds
Certains se noie d’entrée d’avoir été humilié, d’autre phobique attendent le bassin avec appréhension.
Peut être même que tout les bruits sont ressemblant, on entend les lourdes pensées glisser sur le carrelage mouiller du vestiaire.On entend le public se rassembler pour parler et enfiler leur dernières connaissances sous un haut plafond couvert de buée.
Puis les sujets arrivent déjà, nous entrons dans le grand bassin et après avoir déposer les serviettes sur le rebord le silence gagne les places.Le frottement des chaises sur le sol perlé de goutte d’eau indique la frustration, l’excitation que le devoir apporte. Cette douce et calme marée est trompeuse elle ne fait pas flotter, le sel y manque ainsi que les chaussés. Et chaque moment, un mouvement, ramène vers le fond.
Je me suis toujours senti à l’aise dans l’eau.
Pourtant les calculs et problèmes versés sur la table trouble l’eau. Et de peur la sensation confortable m’échappe ainsi que mes bagages. Peut être alors dans la langue maternelle et le prochain bassin je cesserai enfin de faire couler de l’encre pour rien.
\ »simming\ » par Emilie Simon